Kristi Noem a bâti sa marque politique autour de la fermeté et des valeurs conservatrices, mais derrière ses slogans se cache un bilan inquiétant d'intérêts personnels, de manquements à l'éthique et d'excès autoritaires. Qu'il s'agisse de tirer profit personnellement de dons politiques ou d'affaiblir les forces de l'ordre fédérales, le comportement de Noem soulève de sérieuses questions quant à son aptitude à exercer une fonction publique. Voici ce que vous devez savoir :

1. Paiements secrets

En 2023, alors qu'elle était gouverneure du Dakota du Sud, Noem a discrètement canalisé 10% de dons — environ $80 000 — provenant de l'organisme à but non lucratif Fonds de politique de résolution américaine Elle a omis de déclarer ces revenus dans ses formulaires d'éthique fédéraux lorsqu'elle a rejoint le cabinet de Trump, alors qu'elle y était légalement tenue.

En mentionnant sa LLC mais en omettant le paiement, Noem a caché un jour de paie personnel lié à un véhicule de collecte de fonds politique, une violation flagrante de l'éthique et un signal d'alarme massif pour quiconque apprécie la transparence.

2. Elle a fait pression sur les autorités pour qu'elles accordent à sa fille une licence immobilière

Lorsque la licence d'évaluateur immobilier de sa fille lui a été refusée, Noem est intervenue directement, convoquant des fonctionnaires de l'État, sa fille et de hauts fonctionnaires au palais du gouverneur. Quelques jours plus tard, le refus de licence a été annulé et la directrice de l'agence a été de facto contrainte de quitter son poste.

The result? A $200,000 taxpayer-funded settlement and a state ethics inquiry. This isn’t just bad optics, it’s blatant nepotism and abuse of executive power for personal family gain.

3. Luxurious Personal Spending on the Taxpayers’ Dime

Noem a l'habitude de traiter les fonds publics comme un compte personnel. dépensé plus de $60 000 Elle a également décoré la résidence du gouverneur, notamment avec des articles de luxe comme des saunas et des lustres. De plus, elle a facturé plus de 14640 000 TPT en frais de déplacement, notamment à Paris, au Canada et au Texas.

Alors que les citoyens du Dakota du Sud luttaient contre de véritables difficultés économiques, Noem donnait la priorité aux projets d’image, de luxe et de vanité, le public payant sa facture.

4. Pushing Extremist Conspiracy Theories

En tant que secrétaire à la Sécurité intérieure, Noem a publiquement accusé le FBI of leaking details of a planned ICE raid, calling the agency corrupt. The FBI forcefully denied the accusation, calling it “deeply irresponsible” and noting no evidence supports her claim. Her rhetoric fans the flames of far-right conspiracy theories and undermines public confidence in government.

Cela fait partie d’un modèle plus large : une posture incendiaire visant à dynamiser une base politique, même si elle porte atteinte aux institutions et à la confiance du public. 

5. Divisions créées entre les nations tribales et l'État

Noem accused tribal leaders of profiting from drug cartels on Native reservations without offering a shred of evidence. As a result, Indigenous leaders across South Dakota condemned the comments as racially charged and false, with les tribus l'interdisent d'accéder à leurs terres entièrement. 

Plutôt que de dialoguer avec les nations autochtones avec respect et diplomatie, Noem a choisi la division et la désignation de boucs émissaires, aggravant ainsi les blessures historiques et sapant la souveraineté tribale. 

From enriching herself on political donations to manipulating state resources for her personal gain, Noem’s record is a severe breach of public trust and ethical governance. She’s essentially profiting from her own political rise, further showing her lack of accountability.